<p>&nbsp;<strong>Après plus de 10 ans de carrière, une Victoire de la Musique, des compositions pour le film&nbsp;</strong><em>Le Sens de la Fête</em><strong>&nbsp;ou encore la série&nbsp;</strong><em>Lupin</em><strong>&nbsp;sur Netflix, Cascadeur fait son grand retour.</strong></p>
<p>Dix années se sont écoulées depuis le premier album &nbsp;<em>The Human Octopus,&nbsp;</em>à la pop étoffée et aérienne.  Dix ans,  ça autorise les bilans. Celui de Cascadeur s’énonce rapidement. &nbsp;»<em>Un grand huit où j’ai beaucoup appris sur les autres, sur moi et les facettes des mondes musicaux . C’était compliqué de me démasquer en rentrant  à  la maison, après les concerts de la tournée.</em>”</p>
<p>Cascadeur, qui se laisse allègrement influencer par Bon Iver, Sígur Ros, James Blake, Talk talk, Tim Buckley, les  BO’s de Tarantino ou des frères Coen, ou Antony, conserve son propre style – la marque des gens talentueux. Et c’est en homme volant qu’il nous revient, en tenue de base jumping, planant au-dessus d’un monde pas folichon. Avec ce quatrième album, Cascadeur s’invente une nouvelle peau, celui d’homme volant. &nbsp;Musicalement, il a retrouvé sa voix avec l’emploi du français pour sa pop cinématique et ciselée, avec des arrangements somptueux qui flirtent avec une pop symphonique, atmosphérique et chorale</p>
<p>Retrouvez-le sur la scène de l’Eden en novembre 2022 dans des prestations à l’image de sa musique : envoûtantes !</p>